samedi 3 mars 2012

Brandreth ne cesse de me combler !

Quel plaisir durant une lecture de goûter à notre chère Angleterre Victorienne !
Brandreth remplit son contrat avec un succès certain.
D'abord les personnages, il est bien évident que notre auteur met en scène notre trio infernal : le dandy Wilde, le docteur Doyle, l'écrivain Sherard, mais quelle n'est pas notre surprise lorsque celui-ci immisce dans notre affaire l'illustre père de Dracula, Bram Stoker. D'ailleurs, de mordant, notre affaire n'en manque pas. Assassinat sur fond d'hystérie, Brandreth a choisi ce tome pour présenter les travaux d'un illustre neurologue, Charcot. Fin 19ième siècle ou, quand les troubles du comportement ne semblent plus être l'oeuvre du diable mais bien celle de la chimie des corps...
Enfin, ce tome est écrit à plusieurs mains. Chacun narre les évènements tels qu'il les a perçus, le tout sur fond de journal intime ou bien encore de missive.
Je n'ai qu'une seule question : A quand le prochain ?

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