Quel plaisir durant une lecture de goûter à notre chère Angleterre Victorienne !
Brandreth remplit son contrat avec un succès certain.
D'abord les personnages, il est bien évident que notre auteur met en
scène notre trio infernal : le dandy Wilde, le docteur Doyle, l'écrivain
Sherard, mais quelle n'est pas notre surprise lorsque celui-ci immisce
dans notre affaire l'illustre père de Dracula, Bram Stoker. D'ailleurs,
de mordant, notre affaire n'en manque pas. Assassinat sur fond
d'hystérie, Brandreth a choisi ce tome pour présenter les travaux d'un
illustre neurologue, Charcot. Fin 19ième siècle ou, quand les troubles
du comportement ne semblent plus être l'oeuvre du diable mais bien celle
de la chimie des corps...
Enfin, ce tome est écrit à plusieurs mains. Chacun narre les évènements
tels qu'il les a perçus, le tout sur fond de journal intime ou bien
encore de missive.
Je n'ai qu'une seule question : A quand le prochain ?
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